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Chaque semaine ou presque, retrouvez un article ou un extrait d’un des livres de Julien Rochedy. Ces textes peuvent se retrouver en anglais ici.

Fragmentation du monde, capitalisme et néoréaction

Fragmentation du monde, capitalisme et néoréaction

Le capitalisme contemporain fragmente le monde en micro-zones hors démocratie, rappelant féodalisme et cités-États, tandis que la néoréaction y voit un modèle d’efficacité et d’avenir.
Danger sur le marché de l’information

Danger sur le marché de l’information

Internet promettait de libérer l’information. Les réseaux sociaux l’ont faite marchandise spéculative, produite par des algorithmes avides de réactions : une bulle de bruit qui dévore notre attention.
Métapolitique et Infrapolitique

Métapolitique et Infrapolitique

La politique repose sur l’anthropologie. Or, nos fondations humaines sont détruites : familles, culture, repères communs. Sur ce sol boueux, plus rien ne pousse, et encore moins des idées.
À propos de mon livre Surhommes & Sous-hommes

À propos de mon livre Surhommes & Sous-hommes

Surhommes et Sous-hommes est un livre très ambitieux car il contient en réalité beaucoup de livres. À bien des égards, il en contient même trop.
L’après-demain ou rien

L’après-demain ou rien

Nietzsche écrivait : “C’est l’après-demain qui m’appartient.” Demain s’annonce chaos économique, social et écologique. L’Europe devra choisir : sombrer ou renaître par une nouvelle solidarité.
La foudre gouverne

La foudre gouverne

Héraclite voyait dans le feu l’essence du monde : l’entropie, la consumation perpétuelle. Ses larmes annonçaient déjà notre vertige devant la mort thermique de l’univers.
De quel Titan l’Européen est-il le nom ?

De quel Titan l’Européen est-il le nom ?

Entre technologie triomphante et désastre écologique, l’Europe est au carrefour de la Modernité : deviendrons-nous Ménétios, l’incendiaire, ou Atlas, le gardien du monde soutenable ?
ÊTRE OU ÊnTRE, TELLE EST LA QUESTION

ÊTRE OU ÊnTRE, TELLE EST LA QUESTION

Le libéralisme réduit l’être à l’“entre”. Nos sociétés ne se définissent plus par ce que nous sommes, mais par des rapports d’échanges qui finissent par nous vider de toute identité.
La grande sensiblerie

La grande sensiblerie

Notre époque vit sous la tyrannie de la sensiblerie : tout se juge au ressenti, au plaisir et à la douleur. L’Occidental n’est plus fort, mais devenu geignard.